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MÉDICAL : LA SBM PROPOSE UN PRÊT SANS INTÉRÊT

La SBM Bank (Mauritius) Ltd a lancé mi-janvier le Zero Interest Medical Loan Scheme : un plan de financement sans intérêt, conçu en collaboration avec le ministère de la Santé et en partenariat avec plusieurs cliniques privées. Si le système de santé public est gratuit, les soins dans les cliniques peuvent s’avérer onéreux. Ce prêt sans intérêt vise à les aider à se soigner dans le privé grâce une nouvelle solution de financement dédiée.

Le « Zero Interest Medical Loan Scheme » propose des prêts de 50 000 à 1 million de roupies (environ 1000 à 20 400 euros) pour des traitements médicaux auprès des cliniques partenaires, à Maurice. Le financement couvre jusqu’à 100 % du coût du ou des traitements. La période de remboursement maximale est de sept ans, comprenant un moratoire facultatif d’une année. Le plan est exonéré des frais de dossier.

« Ce plan s’adresse à tout citoyen mauricien ayant résidé sur le territoire de la République de Maurice depuis au moins six mois avant le traitement, sauf s’il s’est absenté du pays pour un traitement médical, des vacances, des affaires ou des études. De plus, le revenu mensuel brut total de l’emprunteur (les deux époux conjointement, ou parent seul) ne doit pas dépasser 200 000 roupies (approximativement 4 000 euros – Ndlr) », avance le communiqué de presse de la SBM.

Source – Le journal de l’archipel

Investir en Afrique : décryptage des secteurs porteurs et des défis

Investir en Afrique, oui, mais dans quels secteurs ? C’est toute la question des nouveaux méga projets d’investissement en Afrique. Le continent et ses richesses naturelles attirent toujours autant les investisseurs étrangers. Mais face au changement climatique, impossible de déconnecter les projets d’investissement des enjeux environnementaux.

Net recul des investissements en Afrique

2022 est marquée par un recul des investissements observé à l’international. Recul également observé en Afrique, avec 80 milliards d’investissements directs étrangers (IDE) en 2021 pour seulement 45 milliards en 2022. D’après le rapport de la Conférence des Nations Unies sur le commerce et le développement (CNUCED), l’Égypte, l’Afrique du Sud et l’Éthiopie sont les 3 pays du continent à avoir reçu le plus d’investissements directs étrangers (IDE). L’Égypte arrive en tête avec 11 milliards de dollars d’IDE. L’Afrique du Sud obtient la 2e place (9 milliards d’IDE), devant l’Éthiopie (3,7 milliards d’IDE). Le Sénégal est 4e avec 2,6 milliards d’IDE. Viennent ensuite le Maroc, la République démocratique du Congo (RDC), le Ghana, l’Ouganda, la Tanzanie et la Zambie, avec 0,116 milliard d’IDE.

Le rapport de la CNUCED relève une hausse de 4 % des flux vers l’ensemble des pays émergents, et particulièrement vers les pays d’Afrique. Malgré la chute des IDE, près de la moitié des gros projets d’investissements (projets supérieurs à 10 milliards de dollars) se trouvent en Afrique. De nouveaux projets qui concernent essentiellement l’approvisionnement en énergie et en gaz. De 24 milliards de dollars en 2021, les projets d’investissement dans ce secteur sont passés à 120 milliards de dollars. Les secteurs de la construction et de l’extraction sont tout aussi porteurs (respectivement 24 et 21 milliards de dollars). Les technologies de l’information et de la communication (TIC) attirent également les investisseurs étrangers. Investisseurs pour l’essentiel européens : le Royaume-Uni (60 milliards de dollars), la France et les Pays-Bas (54 milliards de dollars chacun) détiennent les plus grands stocks d’IDE en Afrique.

Investissements en Afrique : les secteurs porteurs

Industrie pétrolière, exploitation des pierres précieuses, matières premières, agriculture, agroalimentaire… Voilà donc les secteurs les plus porteurs pour investir en Afrique en 2023. Mais quels investissements réaliser ? En vue de quels bénéfices les réaliser ? Ces bénéfices seront-ils profitables à la population locale, à la croissance du pays africain ? Autant de questions qui sous-tendaient le premier Sommet africain sur le climat. Organisé par le Kenya et l’Union africaine (entre le 4 au 6 septembre), ce Sommet a réuni dirigeants et experts à Nairobi, pour trouver de nouvelles solutions à la crise climatique. Solutions qui, pour Stephen Jackson, Coordinateur Résident des Nations Unies au Kenya, sont indissociables de la question du financement. Revenant sur les secteurs porteurs en Afrique, il confirme que le continent dispose des plus grandes ressources naturelles en énergies renouvelables. La forêt tropicale Congo constitue le « deuxième poumon vert » de la planète. L’Afrique dispose également de la plus grande quantité de terres agricoles arables au monde.

Des méga projets d’investissement parfois controversés

Se repose alors la question de l’investissement. Car les défenseurs de l’environnement s’opposent à tout projet sacrifiant le continent africain pour le profit des investisseurs étrangers. Pour eux, chaque investissement doit nécessairement prendre en compte la menace du réchauffement climatique. Ils rappellent d’ailleurs que l’Afrique émet bien moins de dioxyde de carbone que ces voisins du Nord, mais subit davantage les conséquences du réchauffement climatique. Les méga projets d’investissements sont ainsi regardés avec plus de rigueur.

Ainsi, le méga projet du géant français TotalEnergies est, depuis son lancement, pointé du doigt par les ONG. En 2022, le groupe pétrolier français et CNOOC, son partenaire chinois, annonçaient un accord d’investissement de 10 milliards d’euros avec l’Ouganda et la Tanzanie, pour exploiter et exporter le pétrole ougandais. Le projet, qui prévoit la construction d’un oléoduc entre l’Ouganda et la Tanzanie, est l’un des plus importants au monde. L’Ouganda y voit une opportunité de recevoir davantage d’investissements étrangers et d’attirer d’autres investisseurs, grâce à son pétrole. TotalEnergies promet des créations d’emploi et une amélioration des conditions de vie des habitants.

Mais le projet suscite la controverse depuis les premiers jours. Un nouveau rapport de l’ONG Human Rights Watch paru le 10 juillet 2023 parle d’un « désastre » qui « contribuera à la crise climatique mondiale ». Le coût humain est lui aussi catastrophique, avec, selon le rapport plus de 100 000 habitants déplacés, et un appauvrissement de milliers de personnes. TotalEnergies rétorque qu’il verse des indemnités aux familles déplacées. Indemnités qui tardent parfois à venir, nuancent les intéressés, et qui seraient de toute manière insuffisantes pour couvrir les pertes subies. Pertes dont les conséquences se feraient sentir sur des années.

Vers un investissement vert ?

En novembre 2022, l’ONG allemande Urgewald profite de la COP27 pour publier le rapport « qui finance l’expansion des énergies fossiles en Afrique ». D’après ses conclusions, « Deux tiers [des nouveaux projets d’investissement dans les énergies fossiles] sont portés par des multinationales dont le siège se trouve hors d’Afrique et la majorité sont tournés vers l’exportation pour satisfaire les besoins occidentaux ». De son côté, la Banque mondiale rappelle que l’une des priorités pour les habitants du continent africain est d’accéder à l’électricité et à l’eau. Des besoins essentiels qu’il faudrait satisfaire dans un contexte de crise mondiale.

Pour l’Agence internationale de l’énergie, il faudrait multiplier par deux les investissements en Afrique et les capacités à produire de l’énergie dans les 10 ans à venir. Reste à savoir si l’accent sera mis sur les investissements verts ou sur les énergies fossiles. Pour certains experts, difficile d’imposer aux pays africains un abandon total des énergies fossiles. Malgré l’abondance de ressources naturelles et un ensoleillement propice au développement du photovoltaïque, ce secteur reste sous-exploité en Afrique. Un rapport de Bloomberg New Energy Finance fait même état d’une chute de 35 % des investissements dans les énergies renouvelables en Afrique entre 2020 et 2021, alors qu’ils augmentaient partout ailleurs (+9 % dans le monde).

D’où la question du financement posée lors du Sommet africain sur le climat. Booster les IDE, oui, mais avec un cadre permettant une réelle croissance sur le long terme. Des économistes rappellent que croissance économique et préservation des ressources naturelles ne s’opposent pas, mais agissent de concert. C’est le défi du continent africain.

Asaël Häzaq

A propos de Asaël Häzaq

Rédactrice pour Expat.com. Rédactrice actualité socio-économique, Japon, pop-culture.

Source – Article issu du site Expat.com

LE MILLION DE TOURISTES DE RETOUR À MAURICE

APRÈS UNE LONGUE FERMETURE DES FRONTIÈRES, L’ANNÉE 2022 A ÉTÉ MARQUÉE PAR LE RETOUR DES TOURISTES ET LA REPRISE D’ACTIVITÉ POUR TOUTE UNE FILIÈRE LOURDEMENT ÉPROUVÉE.

Avec près de 997 000 visiteurs accueillis, les autorités et certains acteurs se félicitent de frôler l’ambitieux objectif du million de touristes, équivalant à un recouvrement de 72 % de la fréquentation de 2019 (1,38 M). La situation reste favorablement orientée pour les premiers mois de 2023, malgré les défis majeurs du manque de la main-d’œuvre dans l’hôtellerie-restauration et de l’insuffisance de l’offre de sièges dans le secteur aérien.
La question que se pose désormais de nombreux opérateurs du secteur porte sur cette course au nombre de touristes.
En effet, avec autant de touristes que d’habitants (1,2 million NDLR), la petite île subit de graves atteintes à l’environnement.
Dés lors, ne faut-il pas s’orienter vers moins de touristes consommant d’autres types de prestations ?
La question fait débat aujourd’hui.

Source : le journal de l’archipel

Renganaden Padayachy, ministre mauricien des Finances et du développement économique : « le taux de croissance sera en 2023 de 5 % »

Renganaden Padayachy, ministre mauricien des Finances et du développement économique, a lors d’une conférence de presse bilan de l’année, estimé la croissance économique de 2023 à 5 % Renganaden Padayachy, ministre mauricien des Finances et du développement économique : « le taux de croissance sera en 2023 de 5 % »

Renganaden Padayachy, ministre mauricien des Finances et du développement économique, a convoqué la presse pour un bilan de l’année. Il estime que la croissance économique sera de 7,2%
Il a indiqué que son gouvernement avait, lors de la crise covid, trois objectif :
1) soutenir la population. 8 millards de roupies (169 millions d’euros) ont été décaissées à cet effet. Quant aux aides sociales, elles ont augmenté de 20%;, 
2) aider les entreprises et surtout 
3) maintenir un bon climat des affaires
Preuve que ses choix ont été payants, le ministre s’est félicité qu’il y ait eu 25 milliards de roupies (529 million d’euros en IDE), 105 millards de roupies d’investissement (2,25 milliards d’euros) dont 80 milliard de roupies  (1,69 milliard d’euros) provenant du secteur privé.
Enfin, Renganaden Padayachy estime que 2023 sera l’année du rebond avec l’objectif d’atteindre 5 % de taux de croissance.

Source – l’Eco Austral

Renganaden Padayachy, ministre mauricien des Finances et du développement économique : « le taux de croissance sera en 2023 de 5 % »

Renganaden Padayachy, ministre mauricien des Finances et du développement économique, a lors d’une conférence de presse bilan de l’année, estimé la croissance économique de 2023 à 5 % Renganaden Padayachy, ministre mauricien des Finances et du développement économique : « le taux de croissance sera en 2023 de 5 % »

Renganaden Padayachy, ministre mauricien des Finances et du développement économique, a convoqué la presse pour un bilan de l’année. Il estime que la croissance économique sera de 7,2%
Il a indiqué que son gouvernement avait, lors de la crise covid, trois objectif :
1) soutenir la population. 8 millards de roupies (169 millions d’euros) ont été décaissées à cet effet. Quant aux aides sociales, elles ont augmenté de 20%;, 
2) aider les entreprises et surtout 
3) maintenir un bon climat des affaires
Preuve que ses choix ont été payants, le ministre s’est félicité qu’il y ait eu 25 milliards de roupies (529 million d’euros en IDE), 105 millards de roupies d’investissement (2,25 milliards d’euros) dont 80 milliard de roupies  (1,69 milliard d’euros) provenant du secteur privé.
Enfin, Renganaden Padayachy estime que 2023 sera l’année du rebond avec l’objectif d’atteindre 5 % de taux de croissance.

Source – L’Eco Austral

Agri Resources Group va développer, avec l’ADD-OI et le PNUD, une chaîne d’approvisionnement durable de la vanille

C’est avec l’engagement de l’État malgache et le soutien du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD) qu’Agri Resources (Mauritius) et les Assises du Développement Durable de l’Océan Indien (ADD-OI) ont signé un protocole d’accord pour développer une chaîne d’approvisionnement durable de la vanille dans notre région.

Cet accord comprend des projets d’agriculture durable, de restauration des terres, d’agroforesterie (association d’arbres et de cultures ou d’animaux sur une même parcelle, ndlr.) et de préservation de la biodiversité, ainsi que la création d’emplois locaux et d’opportunités économiques et la formation des communautés locales. Ces projets à long terme ont la capacité de créer une rentabilité directe bénéficiant de l’expérience d’Agri Resources Group dans la réalisation de ces activités.
Le groupe Agri Resources se développe dans l’océan Indien depuis 2015. Son cœur de métier comprend la culture, l’approvisionnement, la transformation et la commercialisation de la vanille et des épices. Il gère aujourd’hui trois plantations (un total de 145 ha), deux sites de transformation et d’exportation, une distillerie d’huiles essentielles, et travaille avec un réseau de plus de 1 700 petits agriculteurs.
Le protocole d’accord identifie deux domaines prioritaires de collaboration stratégique : la gestion durable des ressources naturelles vivantes et de l’utilisation des terres, ainsi que le progrès socio-économique et l’autonomisation des communautés d’agriculteurs sur les îles.
 

Les Assises du Développement Durable de l’Océan Indien (ADD-OI) du secteur privé interviennent en réponse à l’engagement pris par les huit îles de l’océan Indien (Madagascar, les Maldives, Union des Comores, Maurice, Seychelles, la France (Réunion et Mayotte) et Zanzibar) de lutter activement contre le réchauffement climatique via des projets concrets, ciblés et impliquant transversalement les 8 îles et également trois pays partenaires privilégiés que sont le Maroc, les Émirats Arabes Unis et l’Inde. 

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Maurice va accueillir la Conférence économique africaine 2022

Port-Louis va accueillir, du 9 au 11 décembre 2022, l’édition 2022 de la Conférence économique africaine (AEC) dont le thème est le changement climatique. 
Plus grand forum de discussion sur les défis et opportunités émergents du continent africain, l’AEC est organisée chaque année conjointement par la Banque africaine de développement (BAD), la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CNUCED) et le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). 
Cette année, la conférence va se tenir sur le thème, « Soutenir un développement sensible aux changements climatiques en Afrique » et se déroulera sous un format hybride. Les participants se réuniront physiquement à Balaclava (nord-ouest de Maurice) et le reste en visioconférence. 
Cette conférence est une plateforme pour une réflexion approfondie sur le renforcement des capacités institutionnelles afin de développer des mécanismes innovants et respectueux du climat pour renforcer la résilience de l’Afrique et la volonté de s’orienter vers des voies de développement à faible émission de carbone.

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Global Innovation Index : Maurice conserve sa première place en Afrique

Maurice conserve sa première place en Afrique subsaharienne et grimpe de sept places pour atteindre le 45e rang mondial du Global Innovation Index (GII). Ce rapport a été publié le 29 septembre 2022 par l’Organisation mondiale de la propriété intellectuelle (WIPO), une agence des Nations unies, en collaboration avec l’université Cornell aux États-Unis et l’INSEAD, l’Institut européen d’administration des affaires. Chaque année, le GII évalue la croissance de pas moins de 132 pays sur leurs performances en matière de recherche, d’innovation, de savoir, de technologie, de ressources humaines et de développement des marchés dans différents secteurs.

Dans son rapport, le GII souligne que Maurice a fait mieux en termes d’innovation au cours de l’année écoulée et les indicateurs concernés sont en nette progression par rapport à 2021 et 2020. En conséquence, le pays est désormais classé 6sur 36 pays classés comme “économies à revenu intermédiaire supérieur”.

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EWC : les entrepreneurs font leur coupe du monde

La 4ᵉ édition du concours international de l’Entrepreneurship world cup, l’un des plus grands concours de pitch au monde et de programmes de soutien pour la prochaine génération d’entrepreneurs devrait accueillir cette année plus de 370 000 entrepreneurs venant de plus de 200 pays.

Ils s’affronteront pour gagner 1 million de dollars (partagé entre les trois meilleurs projets), en plus des avantages en nature (perks), les formations et les opportunités d’investissement, selon les organisateurs. 
C’est une initiative mondiale lancée par Global entrepreneurhip network (GEN). À Maurice, c’est Empretec Mauritius qui représente l’Entrepreneurship World Cup.
À Maurice, les dates importantes sont 

  • 15 octobre : Date limite pour postuler (Maurice)
  •  14-18 novembre 2022 : Finales Nationales Ile Maurice
  •  Janvier-Février 2023 : EWC Group Stage – Virtual Bootcamp
  •  Février 2023 : annonce du CEE 100
  •  Mars 2023 : EWC Global Finals

La finale mondiale aura lieu à Riyad, en Arabie saoudite, en mars 2023.

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54H POUR CRÉER UN PROJET DE STARTUP

RETOUR DU TECHSTARS STARTUP WEEKEND, LE PLUS GRAND INCUBATEUR AU MONDE !
IL SE TIENDRA DU 8 AU 10 SEPTEMBRE À LA FACULTÉ TIC DE L’UNIVERSITÉ DES MASCAREIGNES (UDM) À ROSE-HILL.
POUR RAPPEL, LE TECHSTARS STARTUP WEEKEND, UNE INITIATIVE MONDIALE D’ORIGINE AMÉRICAINE CRÉÉ EN 2007, EST UN HACKATHON EN 54H POUR TRANSFORMER SON IDÉE EN PROJET DE STARTUP.

Il est organisé par l’OTAM, la MITIA et la CCIFM, à travers la FINAM, en collaboration avec l’Université des Mascareignes et la French Tech Maurice.
La thématique de cette édition concerne la ‘tech for good’ axée sur l’utilisation de la technologie pour répondre à l’une des problématiques liées aux Objectifs du développement durable (ODD).
Mme Jenny Chan, Vice-Présidente de la FINAM et de l’OTAM souligne que « Le Techstars Startup Weekend est un challenge ouvert à tous et à toutes. Il s’appuie sur le principe que la création d’entreprise est à la portée de tout un chacun et que l’esprit d’équipe est la clef de voûte de la réussite d’un projet. Le thème de cette édition interpelle et permet de mettre en valeur des projets utiles pour la société et l’environnement. Nous invitons le public à participer en nombre. »
La vocation du Startup Weekend est d’inculquer une culture d’entrepreneuriat et d’innovation en favorisant l’apprentissage entrepreneuriale à travers la concrétisation d’une idée, le travail en équipe, l’action, le dynamisme collectif. Finalement, les équipes, qui auront identifié un besoin actuel, présenteront le projet le plus abouti et le mieux pensé qui va apporter une réponse originale ou innovante à une problématique liée aux ODD. Il s’agit de libérerla créativité, d’ouvrir le champ des possibles et ainsi, contribuer au développement du tissu économique local.
« La French Tech Maurice est heureuse de contribuer au développement de la dynamique Tech for Good à Maurice. Le Startup Weekend est une plateforme de choix pour faire émerger des projets innovants au service du bien commun. » affirme Michel Cordani, Co-Président de la Communauté French Tech Maurice.

SES OBJECTIFS : VENEZ AVEC UNE IDÉE, REPARTEZ AVEC UN PROJET

Le Startup Weekend est un événement de 54 heures où des personnes de tout horizon (des porteurs de projets, desdéveloppeurs, des commerciaux, des investisseurs, des étudiants, …) se rencontrent pour créer des équipes,partager leurs idées, et lancer des projets de startups.
Les personnes sans idée précise sont les bienvenues, car elles pourront constituer une équipe avec les porteurs de projets. Un autre atout pour les participants est la formation intensive sur la création de startup grâce à la transmission gratuite des connaissances et savoir-faire des coaches professionnels pendant tout le week-end.
Des facilités sont mises à la disposition des participants par les sponsors globaux (Google for Startups, GoDaddy, Miro…) pour la réalisation du projet.
Cette 3e édition sera accueillie par la Faculté des TIC de l’Université des Mascareignes, lieu symbolisant le savoir et l’innovation grâce à ses laboratoires high tech.
« C’est avec un immense plaisir que l’Université des Mascareignes accueille le Techstars Startup Weekend Tech4Good Mauritius. La thématique des objectifs du développement durable abordée à travers la ‘tech for good’ est en phase avec les diplômes que nous proposons tels que les Master en Intelligence artificielle, ‘e-health’ ou en efficacité énergétique et développement durable, entre autres. Cette collaboration avec la FINAM et la French Tech Maurice nous permet de nous rapprocher davantage du monde professionnel et d’être partie prenante de l’écosystème des startups à Maurice. » déclare le Dr Radhakhrishna Somanah.

 QUI PEUT PARTICIPER ?

Les participants qui ont une idée pour créer une entreprise innovante, et ceux qui souhaitent mettre à disposition leurs compétences pour concrétiser ces idées pour former des équipes pluridisciplinaires. Leurs profils sont variés :

  • Porteur d’idée : pour accélérer sa réalisation,
  • Experts (employé ou non) souhaitant contribuer à l’avancement d’un projet entrepreneurial innovant
  • Etudiants toutes filières confondues : pour acquérir une expérience de réalisation de projet et entrepreneuriale tout en proposant de nouvelles idées et différentes méthodologies apprises en formation
  • Toute personne majeure désireuse de participer au développement d’un projet en apportant leur savoir et savoir-faire.
INFORMATIONS PRATIQUES

L’impératif du jeudi après-midi
Pour participer, il faut impérativement être présent le jeudi après-midi lors l’ouverture du Startup Weekend à partir de 13h. C’est lors de cette session du jeudi que les équipes se forment.
Ce qu’il faut amener au Startup Weekend
Votre bonne humeur et enthousiasme, votre ouverture d’esprit, votre désir d’apprendre et d’échanger !
Inscription & tarif
Les inscriptions au Startup Weekend Tech4Good Mauritius sont gratuites mais obligatoires.
Elles seront ouvertes jusqu’au lundi 5 septembre sur le lien suivant : 

Programme et horaires du Techstars Startup Weekend Tech4Good Mauritius

1. Jeudi 8 sept. de 12h45 à 17h30 : constitution de groupes autour d’idées
Les participants ‘pitchent’ leurs d’idées durant 60 secondes pour convaincre les autres de former une équipe autour de leur idée dans le but de réaliser leur projet de “startup”. Une dizaine d’idées seraient retenues.

2. Vendredi 9 sept. de 8h30 à 18h : brainstorming et concrétisation du projet
Les équipes formées travaillent leur projet avec l’aide des coachs : business modèle, validation client, marketing, prototype, création de charte graphique… La suite du weekend enchaîne des sessions de travail et d’animations dans une ambiance conviviale et studieuse. Tout est possible grâce aux compétences de l’équipe, des conseils et expertises des coachs et des flashs conférences de cette matinée.

3. Samedi 10 sept. de 8h30 à 18h : finalisation et présentation.
Le samedi à partir de 13h30, les équipes présentent leur projet devant un jury composé d’experts : elles ont 5 minutes pour convaincre et peuvent utiliser tout type de support, de présentation, de prototype. Après 3 minutes de questions-réponses, le jury délibère et décerne les 3 premières places.
La cérémonie de remise des prix se tiendra le samedi 17 septembre. Les trois gagnants seront annoncés, ils remporteront des lots leur permettant de poursuivre leurs projets.

Les entreprises ou organisations qui souhaitent soutenir ou s’associer à ce projet peuvent contacter les organisateurspar email : [email protected]

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