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LE LABEL MADE IN MORIS ACCUEILLE 3 NOUVEAUX ADHÉRENTS

LE LABEL MADE IN MORIS CONTINUE À ATTIRER LES ENTREPRENEURS. TROIS NOUVEAUX ACTEURS PARTICIPANT À L’ÉCONOMIE LOCALE DANS DIFFÉRENTS SECTEURS D’ACTIVITÉ ONT RÉCEMMENT OBTENU LEUR ADHÉSION AU LABEL. ILS BÉNÉFICIENT AINSI DE LA FORCE DE FRAPPE D’UN LABEL CRÉÉ IL Y A 9 ANS PAR L’ASSOCIATION OF MAURITIAN MANUFACTURERS, POUR PROMOUVOIR LE SAVOIR-FAIRE DES MANUFACTURIERS LOCAUX.

YUGO, TaMIS et Xtruline font désormais partie du réseau de plus de 130 entreprises qui détiennent fièrement le label Made in Moris. Les nouveaux adhérents représentent toute la diversité de la production locale. Ainsi, YUGO et TaMIS offrent des solutions technologiques innovantes pour la mobilité et la gestion des ressources humaines. Xtruline innove avec des masques chirurgicaux.
Avant d’être labellisés, les adhérents doivent répondre à un Cahier des Charges spécifique et démontrer qu’ils opèrent de façon formelle et structurée. La labellisation s’accompagne d’un processus rigoureux supervisé par le SGS, certificateur indépendant du label. « Les entreprises et les entrepreneurs créent des emplois directs et indirects. Chacun est évalué selon un Cahier des Charges adapté à son secteur », précise Shirin Gunny, la directrice générale du label.

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[Made in océan Indien] Focus sur La Plage Factory, incubateur et accélérateur éthique à l’île Maurice

Co-fondateur de La Plage Factory, un incubateur-accélérateur éthique situé à l’île Maurice, Michel Cordani est passionné par l’innovation et l’entrepreneuriat. Avec plus de 25 ans d’expérience professionnelle d’envergure internationale, il croit au pouvoir synergique du travail acharné, de la créativité, de la technologie, de la coopération et de l’argent. Rencontre avec l’homme qui murmure à l’oreille des startups.

Comment êtes-vous devenu fondateur d’incubateur ?

Il s’agit d’un projet collectif qui visait à proposer un partenariat public-privé au gouvernement en 2015. De ce projet initial sont sorties deux initiatives :

  • Une initiative publique : le nouveau gouvernement s’en est inspiré pour créer le dispositif « NSIS », porté par l’agence pour l’innovation et la recherche (MRIC).
  • Une initiative privée : 3 des partenaires de départ, Denis Lacour, Anibal Martinez et moi-même avons décidé de créer le Coworking Port Louis et l’incubateur La Plage Factory.

Pour ma part, avec La Plage Factory, je suis passé d’intrapreneur à entrepreneur, désormais très actif dans l’écosystème local (co-fondateur et co-président de la French Tech Maurice, administrateur et animateur de la commission régionale de la CCI France Maurice, co-fondateur de Mo Angels).

Quel est votre rapport avec les entrepreneurs accompagnés par La Plage ?

Je suis le Managing Director et mentor principal, j’accompagne personnellement plusieurs projets. Nous tenons un rôle de véritable partenaire-associé, très impliqué aux côtés des entrepreneurs, à travers :

  • Le mentorat – Nous tirons parti de la puissance de mentors hautement expérimentés et leur fournissons tous les outils et services dont ils ont besoin.
  • L’expertise – Nous apportons à nos startups une expertise ad hoc lorsqu’elles en ont besoin.
  • L’apprentissage mixte – Nous proposons un contenu d’apprentissage hybride et des ateliers sur les aspects clés d’un parcours de start-up.
  • Des événements – Nous organisons des événements de réseautage mensuels et promouvons les activités de l’écosystème.
  • Un support administratif – Nous aidons les startups dans les tâches administratives telles que la création de l’entreprise, pour permettre aux entrepreneurs de se concentrer sur la croissance de leur entreprise.
  • Un accès au financement – Nos programmes sont conçus pour préparer toutes nos startups à investir. Nous tirons parti de notre réseau pour identifier des partenaires stratégiques, des clients et des financements.
  • Une communauté – Composée de pairs, de talents, de clients potentiels et d’investisseurs partageant les mêmes idées.
  • Des programmes internes – Qui fournissent des informations essentielles sur la conduite des affaires à Maurice.

Il s’agit d’arriver à un « minimum viable product – MVP » et de positionner le projet pour un investissement d’amorçage, typiquement par des Business Angels.

Vous accordez une grande importance à la technologie. Quelle est sa place dans l’incubation et l’accélération des startups que vous accompagnez ?

La technologie n’est pas une fin en soi, mais c’est un moteur d’innovation incontestable et incontournable. En effet, technologie ne veut pas dire seulement « informatique », mais l’informatique est plus que jamais indispensable pour gérer les activités et démultiplier la productivité.

Une tendance lourde : la gestion des données en tous genres. Il s’agit de créer de la valeur immatérielle en captant, gérant et monétisant les données liées à son activité et d’autres données externes qui vont les enrichir.

Un projet de startup réussi passe surtout par la mise au point d’un modèle d’affaires pertinent et la mise en place des opérations (équipes, infrastructures, procédures, cadre juridique, équipes, outil de production …). L’entrepreneur est un chef d’orchestre qui doit apprendre vite et savoir déléguer.

Diriez-vous que, de manière générale, la technologie est devenue une nécessité ?

Oui, nécessaire, mais pas suffisant.

Quelles sont les bonnes pratiques recommandées aux entrepreneurs qui souhaitent créer leur startup dans le contexte actuel ?

A part pour les secteurs sévèrement impactés par la crise actuelle, les startups et les entrepreneurs sont dans une situation favorable. En général, les crises poussent à l’innovation et au changement. Aussi, les investisseurs cherchent à se diversifier et ont plus d’appétit pour le risque. Enfin, à Maurice comme ailleurs, l’innovation est un levier de compétitivité et de croissance et les entrepreneurs peuvent bénéficier de plus en plus d’accompagnement et d’aides des institutions.

Pour les entrepreneurs qui se lancent pour la première fois, on peut conseiller sans risquer de se tromper :

  • Ne pas la jouer « solo », mais s’entourer de compétences complémentaires ;
  • Ne pas faire d’impasse sur les fondamentaux : une bonne définition du problème et de la solution, l’analyse du marché et le positionnement concurrentiel, le modèle économique, la mise au point d’un prototype (« minimum viable product ») ;
  • Se rapprocher d’incubateurs ou autres structures d’accompagnement qui permettent de gagner du temps et d’éviter les erreurs et les pertes de temps.

Aujourd’hui, La Plage Factory est une startup qui accompagne les startups. Notre mission consiste à faire éclore et développer de nouvelles entreprises innovantes, en utilisant la technologie et la créativité pour s’attaquer à des problèmes significatifs, générer de la valeur et la partager équitablement. 

Notre correspondant :

Vincent Pollet est le co-fondateur d’ICT.io, une plateforme médiatique qui favorise l’innovation, l’esprit d’entreprise, et met l’accent sur les startups dans l’océan Indien.             Source

Réouverture des frontières : Le cap des 60 000 visiteurs franchi en un mois à Maurice

Le cap des 60 000 visiteurs a été franchi à l’île Maurice en un mois (1er au 31 octobre) dans le sillage de l’ouverture des frontières. 80 % des passagers qui ont atterri à Plaisance étaient des touristes, ce qui a provoqué une belle embellie pour le secteur touristique en général et le secteur hôtelier en particulier.

C’est ce qu’indiquent les chiffres d’Airport Terminal Operations Ltd (ATOL). Et la tendance haussière pour les semaines à venir se confirme

« Les chiffres sont très encourageants pour novembre, décembre et janvier. Nous pensons que nous pourrons atteindre, voire dépasser les 52 % des arrivées que nous avions durant la période pré-Covid-19, ce qui est pas mal vu la situation dans le monde », confie une source autorisée chez ATOL au quotidien « Le Défi ».

Selon les prévisions de l’ATOL le nombre de mouvements, c’est-à-dire de départs et d’arrivées à l’aéroport, devrait être de 222 000 pour le mois de décembre. En 2019, 397 000 passagers étaient passés par l’aéroport. Pour le mois de juin 2022, 132 00 voyageurs sont prévus, alors que le chiffre était de 262 000 en 2019.

Seize compagnies aériennes, y compris Air Mauritius, desservent actuellement l’aéroport de Plaisance. Le nombre est appelé à augmenter au fur et à mesure, tout comme les connexions opérées par certaines compagnies aériennes, dont Air Mauritius, sur certaines destinations.

Sydney Pierre, Chief Sales & Marketing Officer pour les trois hôtels Marriott à Maurice estime que  « le bilan n’est pas mal du tout et les perspectives sont bonnes pour les deux derniers mois de l’année. Avec un peu plus d’avions, on aurait certes pu faire mieux. Les prix d’avion pour venir à Maurice sont très chers car il y a moins de vols que d’habitude et le marché répond à la règle de l’offre et de la demande. Il n’y a aussi pas beaucoup de visibilité pour le premier trimestre de 2022 ». 

Objectif 300 000 touristes

Si la tendance actuelle se poursuit l’île Maurice pourrait bien atteindre son objectif de 300 000 touristes à la fin de l’année. Lindsay Morvan, président de la Tourism Authority, interrogé par Le Défi, en est convaincu :

« Atteindre l’objectif de 300 000 touristes à la fin de l’année paraît réalisable. Certains hôtels doivent refuser des réservations pour décembre. Par contre, d’autres ont moins de clients. Les perspectives pour janvier, février et mars sont aussi positives. Si l’on se fie au feedback que nous recevons des hôtels, au départ, les 5-etoiles avaient la cote, mais les 3- et 4-étoiles, et même les autres, semblent se reprendre ».

Source : Le Défi

Brèves économique Afrique de l’Est et Océan Indien du 26 octobre


Faits saillants de la semaine

  • Burundi                Mise en service d’une nouvelle centrale solaire de 7,5 MW
  • Comores              Pas de brève cette semaine
  • Djibouti                Pas de brève cette semaine
  • Erythrée               Perspectives agricoles positives selon l’ONUE
  • Ethiopie                Pas de nouvelles prévisions de croissance du FMI
  • Kenya                   Fin du couvre-feu et programme de relance supplémentaire
  • Madagascar        Le français Bricorama noue un partenariat avec ABC du groupe SIRR
  • Maurice               Sortie de la liste grise du Groupe d’Action Financière (GAFI)
  • Ouganda              L’Autorité fiscale ougandaise rate l’objectif du premier trimestre de 140 MUSD
  • Rwanda                Des directives pour améliorer l’accès au logement des rwandais d’ici 2050
  • Seychelles           Reprise effective des vols d’Air France
  • Somalie                Accord entre le Président et le Premier ministre 
  • Soudan                 Coup d’État et déclaration de l’état d’urgence
  • Soudan du Sud    Pas de brève cette semaine
  • Tanzanie              Reprise des négociations du projet GNL à 30 Mds USD
Brèves économique Afrique de l’Est et Océan Indien du 19 octobre

Faits saillants de la semaine

  • Burundi                Coopération avec l’ONUDI pour agir en faveur du développement agricole
  • Comores              Reprise de l’activité bancaire au deuxième trimestre 2021
  • Djibouti                Restructuration des Établissements Publics Administratifs
  • Erythrée               Perspectives économiques de l’Érythrée
  • Ethiopie               Ouverture du marché des transferts de la diaspora aux acteurs non bancaires
  • Kenya                   Les caisses de Kenya Power et Kenya Airways bientôt renflouées
  • Madagascar        Approbation de la réouverture progressive des frontières aériennes malgaches
  • Maurice                Un taux d’inflation annuel estimé à 4,0 %  par Statistics Mauritius
  • Ouganda              Lancement d’un projet « d’Entrepreneuriat féminin pour l’Afrique »
  • Rwanda                Près de 200 habitations endommagées par les fortes pluies du 16 Octobre
  • Seychelles           Pas de brève cette semaine
  • Somalie               Nouvelle stratégie pour améliorer la gestion des ressources en eau
  • Soudan                 Légère levée du blocus de l’Est du pays
  • Soudan du Sud   Les travailleurs du pétrole ont repris la grève pour cause de salaires impayés
  • Tanzanie              39,2 MUSD pour relancer le tourisme face à la pandémie

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LANCEMENT À MAURICE DE CINQ FRÈRES

PORTANT LE NOM DE LA PREMIÈRE PLANTATION DE VANILLE ENREGISTRÉE POUR LA PREMIÈRE FOIS EN 1915, DANS LA RÉGION DE LA SAVA, DANS LE NORD-EST DE MADAGASCAR, CINQ FRÈRES EST UNE ENTREPRISE BASÉE À MAURICE SPÉCIALISÉE DANS LA COMMERCIALISATION DE VANILLE CULTIVÉE AU LONG DE LA RIVIÈRE ANKAVY, NON LOIN D’ANTALAHA – PETITE BOURGADE, CONSIDÉRÉE COMME LA CAPITALE DE LA FAMEUSE ÉPICE. L’ENSEIGNE QUI PROPOSE AUSSI UNE BELLE SÉLECTION DE CONDIMENTS D’EXCEPTION SE LANCE AUJOURD’HUI DANS LA COMMERCIALISATION AU DÉTAIL.

En photo : Matthieu Lougarre Directeur de Cinq Frères, le vice-Président Eddy Boissezon et sa femme, Madame Coombes, Frédéric Dalmasie Directeur Général de Agri Ressources Group, et Mr Coombes Consul de Monaco.

Filiale d’Agro Resources Mauritius, Cinq Frères a pour cœur d’activités la production, l’approvisionnement, la transformation et l’exportation de vanille et d’épices de haute qualité de Madagascar. Agri Resources Group (filiale de Monaco Resources Group) a commencé à investir dans la production de vanille et d’épices à Madagascar en 2015 avec le Directeur de Cinq Frères, Matthieu Lougarre et possède à ce jour pas moins de 3 plantations qui totalisent 145 hectares ainsi que deux centres de transformation.

UNE PRODUCTION À L’IMPACT SOCIAL POSITIF

Cinq Frères est une entreprise qui s’engage à travailler avec les producteurs locaux ainsi que les petits agriculteurs. Afin de garantir la traçabilité, la qualité et la juste rémunération des agriculteurs, Cinq Frères travaille en étroite collaboration avec l’association « Inside Madagascar » et l’APVAM (Association des Planteurs de Vanille d’Ankavia Meva) qui regroupe actuellement plus de 600 producteurs. Impliquée sur le terrain, Cinq Frères délivre également des formations sur la préparation de la vanille afin d’améliorer la qualité et permettre aux producteurs de capter une plus grande partie de la valeur ajoutée de la filière. « Nous misons sur l’éducation, la valorisation de la qualité, la juste rémunération et la vulgarisation des bonnes pratiques culturales afin d’avoir un impact positif sur le développement des communautés locales et de limiter celui de la filière vanille sur l’environnement » renchérit Matthieu.

Aujourd’hui, les produits Cinq Frères sont vendus sur le site marchand www.cinq-freres.com et sont disponibles à la vente et à la livraison sur tout Maurice.

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Entretien avec un entrepreneur | À la rencontre de Didier Rostaing

« ENTRETIEN AVEC UN ENTREPRENEUR »

Q1. Quel entrepreneur êtes-vous ? Qu’est-ce qui vous caractérise le plus ?

Soucieux de mon indépendance professionnelle, j’adore les paris entrepreneuriaux qui m’offrent la possibilité de créer et de développer des concepts avec des partenaires nouveaux et différents.

Q2. Qu’est-ce qui vous a amené à créer ou implanter votre entreprise à l’île Maurice ?

Le hasard, puisqu’avant de découvrir l’Ile Maurice qu’à l’époque (2006) je ne la voyais que comme une destination de farniente et c’est un client de l’époque qui m’a amené à la découvrir.

Q3. Pouvez-vous nous présenter votre activité professionnelle en quelques mots et ce que vous retirez de cette expérience d’entrepreneur à l’île Maurice ?

Notre activité tourne autour de deux pôles :

• L’activité d’Expert-Comptable gérant en direct et sans filtre un portefeuille de clients français (franchises, libéraux, etc.)

• L’accompagnement d’entrepreneurs français à Maurice qui retrouvent dans notre structure un modèle de fonctionnement identique à nos confrères français

Q4. Des conseils d’experts pour démarrer ! Des conseils à partager pour la création/implantation d’entreprise à l’île Maurice ?

  • Prendre le temps de la réflexion
  • S’entourer de conseils avisés et expérimentés
  • Ne pas arriver en terrain conquis
  • Faire confiance au fort potentiel des acteurs locaux

Q5. Votre meilleur souvenir d’entrepreneur à l’île Maurice ?

  • La création de la CCIFM
  • Les premières actions de formation initiées avec l’IAE de Poitiers
  • Le plaisir des rencontres

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Business Mauritius mise sur la francophonie économique

25 organisations patronales, dont Business Mauritius, étaient présents à la troisième Rencontre des Entrepreneurs de France (REF) qui s’est tenue à Paris fin août, sous le thème « À l’air libre ». Cet événement organisé par le Mouvement des entreprises de France (MEDEF), le patronat français, s’est conclu par la Déclaration de Paris sur le renforcement de la francophonie économique.

« (…) Notre histoire sociale, culturelle et économique est intimement francophone. Notre développement économique se conjugue donc au sein de ce vaste marché, à fort potentiel de progression », assure Vidia Mooneegan, le président de Business Mauritius (BM, l’association qui représente le secteur privé mauricien), il précise « que les pays francophones représentent aujourd’hui 16 % du PIB mondial, avec un taux de croissance prépandémie moyen de 7 % ».

Il dirigeait une délégation mauricienne composée, entre autres, de Kevin Ramkaloan, CEO de Business Mauritius, de Jacques d’Unienville, le CEO d’Omnicane, et d’Anil Currimjee, président du groupe Currimjee Jeewanjee. Elle a pu rencontrer 25 autres organisations patronales du monde francophone, venues notamment de la Belgique, du Bénin, du Burkina Faso, du Cameroun, du Congo, de la Côte d’Ivoire, de Djibouti, de France, du Gabon, de la Guinée, du Liban, du Luxembourg, de Madagascar, du Maroc, de Maurice, de Mauritanie, de Monaco, du Niger, du Québec, de la République démocratique du Congo, du Sénégal, de la Suisse, du Tchad, du Togo, et de la Tunisie.
À noter que le président de Madagascar, Andry Rajoelina; la secrétaire générale de la Francophonie, la Rwandaise Louise Mushikiwabo; le premier ministre de la Côte d’Ivoire, Patrick Achi, et le vice-président du gouvernement de la Wallonie, Willy Borsus, étaient présents à cette rencontre. 

Maurice, hub vers l’Afrique

À l’instar du proverbe « africain », « si tu veux aller vite, marche seul mais si tu veux aller loin, marchons ensemble », Business Mauritius et le MEDEF International, service privilégié d’accompagnement du secteur privé français au développement à l’international, ont lors de cette rencontre, signé un partenariat pour soutenir la coopération régionale et l’internationalisation des économies mauricienne et française vers le continent africain.

L’idée étant d’utiliser Port-Louis comme plate-forme. Par ailleurs avec la signature de la déclaration de Paris, Business Mauritius ouvre la voie aux entreprises mauriciennes à de nouveaux marchés porteurs.
« (…) Nos réussites économiques passent inévitablement par une plus grande coopération. Business Mauritius contribue depuis longtemps à renforcer ces échanges, notamment à travers la mise en place d’événements d’envergures autour des trois axes stratégiques de notre organisme, à savoir les développements durable et inclusif, économique et du capital social », soutient Kevin Ramkaloan, CEO de Business Mauritius.
Cet accord entre BM et le MEDEF International marque ainsi l’annualisation d’une rencontre économique francophone (LaREF Francophone) et la transformation du comité de pilotage en une plateforme permanente de dialogue et de coordination des patronats francophones, préfiguration d’une structuration plus profonde de leurs actions à terme.

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